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| Sujet: Mentor Pour moi ? Lun 19 Nov 2012 - 22:18 | |
| Bien le bonjour, j'écris depuis plusieurs années maintenant, mais je n'ai pas l'impression que je progresse. J'écris des histoires, des poésies ainsi que beaucoup de rp's. J'aimerais beaucoup trouvé quelqu'un qui pourrait m'aidé a approfondir mon savoir. ♥ Voilà un exemple, une présentation sur un forum de rpg lupins. Merci beaucoup et à bientôt surement. c: - Caractère:
Tu ne ressembles a personne, tu es unique, comme tout le monde après tout. Et oui, on est tous différent mais on est tous quelqu’un par rapport à quelqu’un d’autre. Que ce soit un ennemi, un ami, notre famille ou une connaissance. Car toutes ses personnes nous aident a nous construire, et oui même nos pires ennemis. Tu le pensais, vous êtes tous des êtres a part, personne n’est une autre personne. Même les vrais jumeaux, ce sont deux personnes a part, complètement différentes qui ont leurs pensés, leurs choix, leurs joies et leurs peines. Le monde et la vie nous apprend que même si nous naissons de l’union de deux personnes, et bien nous ne sommes pas eux.
Mais qu’est ce que c’est que l’amour ? Qui pourrait réellement répondre a cette question ? Personne car tout le monde a une opinion différente de ce mot, pour toi c’est un sentiment bien sur. Mais c’est bien plus, l’amour c’est lorsque tu ne pense qu’a une personne. L’amour commence lorsqu’on accepte l’autre dans sa différence et sa liberté. Accepter que l’autre soit habité par d’autres présences que la nôtre, n’avoir pas la prétention de répondre à tous ses besoins, a toutes ses attentes, ce n’est pas se résigner a l’infidélité à notre égard, c’est vouloir comme la plus haute preuve d’amour que l’autre soit d’abord fidèle a lui-même. Même si cela est souffrance pour nous, c’est une souffrance féconde parce qu’elle nous oblige à vivre intensément cette dépossession enrichissante. Dans la plus amoureuse étreinte, c’est un être libre que nous étreignons, avec toutes ses possibilités, même celles qui nous échappent. Rien n’est plus grand que ce partage de la véritable personnalité de chacun. L’autre nous interpelle, fût-ce en nous heurtant, et même si le choc nous brise, il nous oblige à renoncer à notre fermeté possessive, à devenir autre par la révélation de l’autre..
Les combats, guerres et autres sont-ils vraiment utile ? On peut régler tant de chose avec seulement la parole, alors pourquoi se battre ? Car il y en a qui ne savent que cogner, ceux qui se battent sans arrêt ne sont pas intelligents. La vraie preuve d’intelligence est d’arrêter le premier, et de savoir mettre du recul aux choses. Savoir dire stop, sa suffit, et que tout cela est inutile. Tu n’es pas du genre à te battre sans arrêt, a ne vouloir que les combats, non toi tu fais preuve d’intelligence, comme ta mère te l’a apprit. C’est ton modèle, c’est une louve si sage, pure et respecté. Elle est certes dans une meute de loups aimant le combat, mais c’est surtout car sa famille y est et qu’elle a besoin d’elle. Jamais tu ne t’abaisseras a plus faible que toi, que ce soit mentalement ou bien physiquement. Tu n’es peut-être pas une combattante hors pair, mais a quoi cela te servirait si tu ne te battais pas ? A rien, vraiment à rien.
La loyauté ou fidélité est l'habitude d'accomplir les engagements contractés. C'est une vertu désirable, parce que la condition de traître ou de déloyal, personne ne la souhaite. Et la responsabilité, est-ce pareil que la loyauté ? Dans les deux cas, les engagements acceptés sont accomplis, mais il y a une différence: la personne loyale réalise ce qui est convenu parce qu'elle désire accomplir la parole donnée. En revanche, la personne responsable réalise ses devoirs parce que ce sont des devoirs, parce qu'elle assume ses obligations. Les deux qualités s'appuient mutuellement. La loyauté fait partie de la justice, dans le sens que l'accomplissement des engagements acceptés est un devoir contracter envers quelqu'un. La constance aide à accomplir la parole donnée quand sa réalisation suppose du temps. La loyauté aide à être constant dans l'effort, par loyauté à ce qui a été promis. La fidélité admet différentes nuances selon qu'il s'agit de loyauté envers nos croyances, envers les autres ou envers soi-même. Et dans chacun de ces cas, il y a des aspects intéressants selon que l'engagement est exprimé ou sous-entendu. La loyauté explicite est la plus visible. Il s'agit d'accomplir les engagements expressément assumés envers les autres. Cela équivaut à accomplir la parole donnée, que ce soit par écrit ou verbalement.
Répliquer a ce que l’on te dit, tu le sais faire, tu as toujours de bonnes riposte, enfin faut-il encore les comprendre. Car lorsque tu parles, tu fais soit des rimes, soit des phrases philosophiques. C’est l’un de tes dons que tu tiens de ta mère, tu ne considères pas qu’il n’y a que des loups noir ou blanc, il y a également des couleurs qui peuvent changer. Ils ne sont ni tous gentils, tous méchant, il y a des mélanges, des lunatiques, des doux mais avec des tendances agressives, etc. Il y a tellement d’exemple que tu ne peux citer.
Il faut aussi préciser une chose, tu es une louve qui apprécie la vie comme elle vient, malgré les malheurs, les tragédies ou autre. C’est le destin qui veut sa, tu respecte la vie et tu espère vivre le plus longtemps possible pour pouvoir apprendre et voir le plus de choses possible. Mais si tu devais partir avant, que ce soit par maladie ou bien par vieillesse tu accepterais la mort. Car la mort fait partie de la vie, même si certains ne peuvent accepter de partir, il le faut. Pourquoi essayer de résister ? Si l’on résiste, tout cela vient bien plus rapidement. Il ne faut pas regretter notre vie, ce que l’on a fait. Car même si c’était des choses horrible, et bien rien n’effacera le passé. Et puis vivre, sa n’est bien pas que pour nous, mais aussi pour les autres, pour ceux qui nous apprécie, ceux qui nous aime.. Ne jamais faillir, toujours avoir espoir, voilà ce que tu t’es promise.
Et concernant les louveteaux, les bébés, qu’en penses-tu ma chère Céléa ? Tu penses qu’il faut en prendre soin, être doux et prévenant avec eux. Les protégé et en prendre soin. Pourquoi ? Car les enfants sont si innocents, si pures, qu’il ne faut pas briser cela. Et puis la plupart du temps, les louveteaux naissent de l’amour tendre et pur de deux personnes qui pourraient faire n’importe quoi pour l’autre. Tu trouves sa si beau de pensé qu’un être plein de vie grandit dans le ventre d’une louve, que l’amour de deux loup peut créer une ou plusieurs vie. Tu trouve même sa, magique tellement c’est merveilleux.
- Physique:
Pourquoi se préoccuper le plus possible de l’apparence ? Ce n’est qu’un bonus dans ce que tu es. Si quelqu’un t’aime seulement pour ton physique, tu ne peux pas l’aimé en retour. Si par contre un autre loup t’aime pour ce que tu es au niveau du mental, et qu’il peut te décrire mieux que tu ne le ferais toi-même et bien il ne faut pas lâcher ce loup, il faut le suivre et espéré qu’il puisse continuer à t’aimer comme tu es. Ceux qui ne font attention qu’au physique, et bien ce sont des loups qui ne te connaissent pas, qui ne pourraient même pas citer un seul de tes défauts ou bien une seule qualité.
Tu n’es pas une louve magnifique, sans aucuns défauts de pelage ou autre, mais qui l’est ? Franchement, montrez-moi une seule louve qui n’a pas un seul défaut et j’me mettrais à genoux devant vous ! Enfin bref, tu es plutôt fine, tu ne possèdes pas beaucoup de muscles. Tu n’es pas faite pour le combat, ou pour porter des choses lourdes. Mais par contre, tes pattes sont faites pour la vitesse et pour le silence. Tu as une démarche tellement légère que l’on ne t’entend jamais arriver, on penserait même qu’une plume se posait si on entendait un bruit. Tu es si discrète, que parfois tu ne t’entends même pas toi-même, tu pourrais aller à des kilomètres de la où tu étais en étant dans la lune, tu ne le remarquerais pas.
Tu te dis une chose, le regard est la chose la plus importante chez un loup, car le regard exprime tout ce que pense un lupin, qu’il le veuille ou non d’ailleurs. Car tes yeux montrent une chose, ton corps en montre une autre. Certains ne le remarque même pas, par exemple si on vous demande si ça va, et que vous dites oui avec un grand sourire alors que c’est faux. Et bien dans votre regard tu verras une once de tristesse, ou déprime, enfin tout ce qui pourrait montrer que c’est un mensonge. Et toi alors, comment est ton regard ? Il est d’un bleu azur si pur, qu’on pourrait si perdre dedans. Lorsqu’on te regarde dans les yeux, on pourrait voir l’océan, on pourrait même s’y noyer. Certains sont resté longtemps comme cela perdu dans tes yeux sans rien dire, sans bouger mais pourtant tu comprenais ce qui se passait quand même.
Et ton pelage alors ? Comment est-il ? Il est aussi doux qu’une plume, et aussi soyeux que de la soie. Lorsqu’on pose sa tête dessus on s’endormirait immédiatement tellement c’est reposant de se poser sur une telle douceur. D’un blanc beige en été et d’un blanc neige en hiver, ton pelage change de couleur en suivant les saisons. En hiver, il est aussi blanc que les ailes d’une colombe. En été, ta fourrure prend des couleurs chaudes grâce au soleil, et devient un peu beige. Mais pas trop quand même. Vous me direz et au printemps et en automne alors ? Et bien cela dépend de s’il fait bleu, gris, nuageux ou soleil. C’est étrange certains diront, mais toi tu ne trouve pas, tu aimes bien comment tu es.. Tout le monde a sa particularité, et la tienne c’est celle-ci.
Ta petite truffe est la chose la plus visible, étant donné qu’elle est noire et qu’elle est mise sur ton museau assez long et fin, juste au dessus de tes babines qui sont montré que d’un trait fin et noir également. Sur celui-ci se trouve quelques moustaches blanches, qui ne se voient pas tellement. Non loin de ton museau, un peu au dessus, se trouve tes oreilles, souvent dressé pour écouter chaque bruit qui t’entoure. L’intérieur de celles-ci est blanche-beige mais avec quelques poils noir. Tout ton corps se coordonne parfaitement au reste. Et ta queue alors ? Et bien, elle est de la même couleur que ton pelage, change de couleur en même temps que celui-ci. Elle se balade souvent de droite a gauche en restant tout de même dans le prolongement de ton corps.
- histoire:
Par où comment une histoire ? Par une naissance bien entendu, la naissance qui est le commencement de toute vie, qu’elle soit pure ou non d’ailleurs. Donc nous allons parler de ta naissance, oui la tienne ma chère Céléa. Mais qu’est ce que la naissance, la naissance d’un petit être vient la plupart du temps d’un amour sincère, d’un amour qui est récompensé par un être plein de vie, une petite vie en fait. Et bien ton histoire commençait bien là, et tu étais la récompense de l’amour de Haven, une grande louve sage qui était connue de toutes les meutes qui n’avait aucun ennemi, même si c’était une louve opale. Mais une louve ne suffit pas, pour être amoureux il faut être deux, alors qui était la seconde personne. Et bien c’était Dark Night, un solitaire qui ne cherchait jamais de problème aux autres. Ils formaient un si beau couple, ils s’aimaient réellement. C’était un couple model, jamais une seule dispute, ils se faisaient confiance quoi qu’il se passait.. Alors c’était normal qu’à un moment ils voulaient avoir des enfants. Malgré plusieurs tentatives, ils n’y arrivèrent pas au début, Haven avait peur, et Dark Night également. Alors un jour Haven allait voir un guérisseur de la meute des Diamants qui lui donnait une plante qui l’aiderait. Elle eu du mal à y croire mais elle acceptait donc elle prit la plante. Ils refirent une tentative et réussissaient du premier coup. Ils étaient si heureux, ils n’avaient pas de préférences, que ce soit un petit mâle ou une petite femelle, ils s’en fichaient. Car l’un ou l’autre, ils l’aimeraient de la même façon. Les mois défilèrent rapidement et Haven sentait plusieurs vies en elle, qui bougeait. Une mère sentait toujours son enfant en elle, c’était si beau. La louve blanche n’en était pas à son premier enfant aussi.
Un soir de pleine lune, Haven sentait que le moment était venu pour elle de mettre au monde ses enfants. Elle poussait un hurlement pour appeler Dark Night qui arrivait rapidement. Quelques heures plus tard, des petits cris sortaient de deux petits bébés. Mais il y en eu trois, le troisième ne criait pas, ne bougeait pas et ne respirait pas. Haven baissait la tête, mais acceptait car c’était la vie et qu’il ne fallait pas se mettre en travers. Par contre le solitaire eu du mal à retenir sa colère, mais heureusement la louve Opale arrivait à le calmer. Les deux petits se faufilèrent sous la mère pour se nourrir, ils étaient très synchro et attrapaient les mamelles de leur mère en même temps. Il y avait un petit mâle, et toi.. Ton nom, Haven l’avait prit car c’était le nom de sa mère, et qu’elle la voyait en toi. Céléa, tu souriais lorsqu’ils disaient ce nom, comme pour dire que tu aimais. Et concernant ton frère, Dark Night prit un nom de l’un de ces amis qui lui manquait, Lusio. Deux noms assez originaux qui ne sont pas très connu. Et ça, sa plaisait a Haven et Dark Night. Car faire les mêmes choses que les autres, n’étaient pas trop leur truc.
Tu étais tout le temps avec ton frère, tu aimais jouer avec, depuis ta naissance vous étiez toujours ensemble tout les deux. Jamais loin l’un de l’autre, et inversement. Vos parents vous surveillaient très bien, faisaient attention a vous, te traitaient comme une princesse et traitait ton frère comme un prince. Vous étiez si heureux tout les quatre, vous jouiez toute la journée, vous mangiez et ensuite vous dormiez l’un contre l’autre. Vous vous aimiez très fort, il fallait dire que tu as eu un début d’enfance très joyeux. Du moins jusqu'à tes six mois, tu t’étais réveillé tard car il faisait très chaud, et en te réveillant tu ne vis que tes parents qui dormaient l’un contre l’autre ? Où était passé Lusio ? Tu ne savais pas et tu t’inquiétais vraiment, tu le cherchais partout en courant, tes parents aussi le cherchaient et criaient son nom partout. Tu pleurais toute les larmes de ton cœur, pourquoi était-il parti.. Qu’est ce qu’il s’était passé ? Il ne vous aimait plus toi et vos parents ? Tu restais longtemps seule dans la grotte, bien au fond, a pleuré. Haven allait vers toi et s’allongeait non loin.
-« Ma puce, tu le reverras, ne t’en fait pas. Il a du se perdre, ou je ne sais pas. Mais ne perd jamais espoir, car sinon tu sombreras et tu auras mal toute la vie. »
Elle te fit une lèche affectueuse sur le front avant de partir parler avec ton père. Que faire, il n’était plus là, plus avec toi, a tes cotés. Tu te sentais seule, et la solitude faisait si mal, se sentir abandonnée de tous. Ça faisait si mal de pensé être seule, n’avoir personne pour grandir et évoluer. Car tu n’avais pas d’amis, ni d’ennemis, aucunes connaissances en fait. Tu ne pouvais pas abandonner, tu le chercherais toute ta vie s’il le fallait mais jamais tu ne laisseras tombé ! Tu ne perdrais pas espoir, comme le dit ta maman, tu resterais la tête haute. Oui, même si tu n’as que six mois tu étais déjà si mature, avec une grandeur d’âme et de cœur inégalable.
Tu grandissais seule, a toujours suivre tes parents. Pour toi c’était les meilleurs, surtout ta maman, elle était si grande d’esprit que tu ne pouvais pas faire autre chose que la prendre pour modèle. De temps en temps, tu restais seule près du lac de reflet. C’était réellement ton endroit préféré, tu aimais t’y allonger et observer ce qui se passait dedans. Tu pensais toujours a ton frère, même maintenant que tu avais un an, tu l’imaginais aillant grandit. Et tu le voyais dans le lac, tu savais que c’était faux mais tu avais quand même les larmes aux yeux. Tu mis ta patte dans l’eau pour effacer l’image de ton frère. Il te manquait. Et jamais tu ne cessais de le chercher, tu savais très bien que même s’il changeait, tu le reconnaitrais. Il est ton frère, tu le saurais quand tu le reverrais, il est dans ton cœur et ça ne changera pas.
Ta tristesse disparaissait peu à peu que tu grandissais, enfin elle ne disparaissait pas, elle restait bien là au fond de ton cœur. Tu ne la montrais plus, tu évoluais seule à présent, tu étais partie de chez ta mère. Tu étais une pure solitaire et tu rencontrais un loup solitaire. Il se nommait Seyano. Vous restiez ensemble et vous étiez devenu les meilleurs amis du monde, enfin c’est ce que tu pensais. Mais en réalité tu découvrais au fur et a mesure du temps que vous étiez ensemble tout les deux, et bien que tu ne pouvais plus te passer de lui, pour la première fois de ta vie depuis longtemps tu avais confiance en un loup. Lorsque tu étais a ces cotés, ton cœur battait a la fois rapidement mais également lentement, enfin c’est une chose qui n’est pas possible à expliquer. Tu ne le savais pas encore, mais tu étais amoureuse de lui. Lui aussi, il te le disait, il te disait qu’il t’aimait. Et tu le croyais.. C’était la pire erreur de ta vie..
Cela faisait plusieurs mois que vous étiez ensemble, qu’il s’était installé avec toi, et vous aviez même tenté d’avoir un enfant. Mais ce n’était pas très sérieux, alors vous aviez rapidement abandonné, tu devais avoir 2 ans à présent. Un jour de grand soleil, tu te baladais sur les terres libres en pensant comme toujours. La tête dans les nuages tu pensais, puis tu sursautais en entendant la voix de Seyano. Tu ne comprenais pas ce qu’il disait alors tu y allais, et là tu te figeais, les yeux grand ouvert. Il était tout souriant, en train de « fricoter » avec une femelle que tu ne connaissais pas. Lorsqu’il te vit, il souriait malicieusement, il finit ce qu’il était en train de faire avec la louve puis avançait vers toi qui ne pouvais bouger. Il te regardait et riait sadiquement avant de s’asseoir.
-« Tu pensais réellement que je t’aimais ? Toi qui ne sait même pas parler comme nous, tu es trop étrange et mystérieuse, en plus t’es moche et tu ne veux jamais rien faire ! Je me suis moqué de toi durant tous ces mois ! Dire que tu ne l’avais même pas remarqué pfff.. T’es nulle vraiment nulle ! »
Tu ne sus pas quoi répondre sur le coup, tu te demandais ce qui s’était passé, tu avais encore du mal à croire ce que tu venais de voir. Puis tu repris ton souffle avant de te lever, de lui tourner le dos et de t’éloigner sans rien dire. La meilleure des armes était le silence, c’était bien vrai c’était pour cela que lorsqu’on te cherchait tu ne répondais jamais. Tu t’en allais et allais à ton endroit préféré depuis ton enfance. T’allongeant près de celui-ci et regardant ton reflet. Etais-tu réellement si nulle ? Si naïve.. Comment le savoir, tu restais là.. Sans rien dire.. Durant plusieurs jours, seule..
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